Projets et équipes

Trois projets seront présentés:

Premier projet

1-Recherche et analyse des lieux de mémoires de la Première Guerre Mondiale, à Montréal:
Problématique: Quelles traces matérielles, montréalaises, participent aujourd'hui à la mémoire des soldats canadiens ayant participé à la Première Guerre Mondiale? 


Plaque commémorative de la paroisse de St-Alban


Les équipes:




1.      Yousra, Emma et Pauline

2.      Juliette, Victor L. et Thomas

3.      Sarah-Jane et Wilson

4.      Mariama et Ramsy

5.      Nolwenn, Jacques et Yannis

6.      Alain. Alberto et Jean

7.      Julian, Sacha et Victor

Le Québec et la Guerre (1914-1918)

Compte-rendu réalisé par l'équipe 5, à la suite du visionnement du diaporama.

            Lorsque la Première Guerre mondiale éclate en 1914,  l’ensemble des dominions de l’Empire Britannique, dont celui du Canada,  sont appelés à prendre part au confit. Avant l’entrée en Guerre, les Canadiens avaient une milice très importante. Tous les «soldats» étaient pour la majorité entrainés dans la Base Valcartier (au nord de la ville de Québec).



Photographie du camp de Valcartier en 1915

Cette base militaire appartenait à une Compagnie Montréalaise créée en 1861, mais reconnue officiellement en 1862. Cette unité de milice canadienne avait pour nom « Victoria Rifles » ou  « the Third Battalion Victoria Volunteer Rifles ».

Le principal promoteur de ce camp fut le ministre de la défense Canadienne, Sam Hugnes. En 1918, le camp de Valcartier avait une étendue de 12 428 acres et avait coûté 590 278,24 $. En tout, le camp accueillit 33 644 hommes en 1914, 8 737 en 1915, 14 924 en 1916 et 1 811 en 1917.


Caricature réalisée en 1915, représentant Sam Hunges
(ministre de la défense Canadienne)

Au camp, on trouvait une caféteria aménagée par un grand industriel,  où tous les jours  les soldats recevaient: du poivre et du sel, 1 1/4 livre de pain,1 once de thé, 1/3 d’once de café, 1 once de fromage, 2 onces de confiture, 2 onces de beurre, 2 onces de sucre, 6 onces de légumes frais, 1 livre de viande fraîche, 1 livre de pommes de terre, 1 once d’huile et 1 pied cube de bois. Les fruits étaient en supplément.

De plus, le camp offrait un accès à l’eau et à un téléphone en tout temps. Lorsque les hommes arrivaient au camp, on leur donnait un uniforme composé des éléments suivants: un casque, une veste, trois pantalons, une paire de bottes, des chemises, des chaussettes, des maillots à manches longues, deux gros manteaux, deux couvertures épaisses et une feuille d’érable comme insigne.


Photo prise en 1915, illustrant l’uniforme des soldats

Le premier départ pour la guerre a eu lieu le 24 septembre 1914. 31 000 soldats et 7 670 chevaux ont participé à ce voyage (6 jours) sur 31 paquebots différents. Au fil du voyage, ces derniers ont été rejoints par des bateaux britanniques. Ils accostent le 14 octobre 1914, non loin des iles Britanniques.

Autour de ce régiment d’élite, et suite à l’entrée en Guerre du Royaume-Uni, la société québécoise a connu des changements importants puisque, les hommes n’étant plus là, les femmes ont pris le «relais».  Elles ont appris  à travailler dans des usines en réalisant des travaux qui autrefois étaient réalisés par des hommes. Par exemple, les femmes ont dû réaliser, entre 1914 et 1918, plus de 1,1 millions d’obus par mois.  Environ 2 500 canadiennes, surnommées les «oiseaux bleus» ont été appelées à partir au combat en Europe, afin de soigner les blessés de guerre.



Peinture représentant une infirmière
Canadienne «oiseaux bleus»

Certaines femmes ont su se démarquer, telle Blanche Lavalée qui était infirmière et s’était engagée en mars 1915 dans le corps médical Canadien.  Elle a su se faire connaître en revendiquant les droits des femmes partant à la guerre.

Finalement nous n’aurions pas toutes ces photographies et ces informations sans l’appui des journalistes et des photographes qui sont partis au combat et qui ont risqué leur vie pour pouvoir ramener des images et des témoignages de soldats. Le plus célèbre d’entre eux se nomme William Rider Rider.


Photo prise par William Rider Rider en 1918

À la recherche des lieux de mémoire :
Outremont et ses environs

Le film qui suit présente quelques lieux de mémoire découverts par les élèves lors de leurs sorties. Ces lieux feront l’objet de recherches pour chacune des équipes du groupe de littérature et société.




Commémoration du 11 novembre

Le groupe de littérature et société a participé à la commémoration de l’armistice devant le cénotaphe du parc Lafontaine.




La lecture de quelques lettres de poilus a fait revivre la mémoire des disparus de la Grande Guerre.




Il est fait mention de cet événement sur le site du consulat général de France à Montréal dont voici l'adresse:
http://www.consulfrance-montreal.org/Ceremonie-de-l-armistice-du-11-2190

On retrouve aussi un reportage sonore sur le site L'outarde libérée:
 http://loutardeliberee.com/jeunes-anciens-combattants-montreal-commemorent-fin-grande-guerre/



Quelques lieux de mémoire à Montréal

                   
Avenue et parc de Vimy

   La bataille de Vimy a eu lieu du 9 au 14 avril 1917, à Vimy, en France. Elle opposait le Canada à l’Empire allemand. La victoire de Vimy fut un événement fondateur pour le Canada. Cette bataille fut pour le Canada  un événement important dans l’évolution du Canada vers l’indépendance par rapport à la Grande-Bretagne. De plus c’était la première fois que les quatre divisions du corps canadien se battaient ensemble. Plus de 3500 Canadiens ont connu la mort lors de la bataille de Vimy et plus de 7000 ont été blessés. Cependant, ce sont tout de même les Canadiens qui ont gagné cette bataille en offrant ainsi une victoire importante à l’Empire britannique.
  En 1933, le conseil municipal d'Outremont change le nom de West End Avenue pour l'avenue de Vimy en l’honneur des Canadiens qui se sont battus lors de la bataille de Vimy.
  Le parc de Vimy, situé à l’Ouest de l’avenue du même nom, se situe également dans l’arrondissement d’Outremont. Il fut inauguré en 1920.





 
avenue de Vimy

 
Parc de Vimy


Certaines œuvres d’arts commémorent aussi la victoire canadienne de Vimy:








(Richard Jack, The Battle of Vimy Ridge, ca. 1918)



Monument aux braves d’Outremont

   Le Monument aux morts de la guerre (autre nom du monument) se situe dans le parc d’Outremont, dans l’arrondissement du même nom. Le monument commémore le souvenir de 47 citoyens d'Outremont morts lors de la Première Guerre mondiale et d’autres morts lors de la Seconde. Ce monument est une initiative du conseiller Ernest W. Sawyer. Cette stèle commémorative a été faite en 1923 par l'architecte J. Roxburgh Smith et le sculpteur Henri Hébert. Elle fut inaugurée le 27 juillet 1925 par Doublas Haig, généralissime des forces britanniques en France, qui la considérait comme le plus beau de tous les monuments de ce genre. Henri Hébert s’est inspiré d’Auguste Rodin pour faire son œuvre. Sur le monument, on peut voir le nom de plusieurs victimes de la guerre. Une inscription latine est gravée sur le monument, Gloria Victoribus, qui signifie « Gloire aux victorieux ».  La sculpture de la femme représente «La Ville d’Outremont pleurant ses morts sous l’ombre du drapeau». L’inscription latine à l’arrière du monument : Haec Olim Meminisse Juvabit, du premier chant de l’Énéide de Virgile, signifie «Un jour ces souvenirs auront pour vous des charmes».



(face avant du monument, photo personnelle)


(Arrière du monument, photo personnelle)





Avenue Courcelette

   En 1917, le conseil municipal d’Outremont change le nom de la rue Rockland Sud pour celui de Courcelette en souvenir de la bataille livrée par le 22e Régiment près de Courcelette en France, en 1916. Cette bataille fut le premier affrontement d’envergure du 22e Régiment. De plus, les chars d’assaut font leur première apparition lors de cette bataille. Les Canadiens se sont distingués face aux ennemis lors de cette bataille.


(Avenue Courcelette à Outremont, Montréal, photo personnelle)
  Il y a un monument, à Courcelette, en France, qui commémore la mémoire des Canadiens s’étant battus pendant la bataille.

(Mémorial canadien à Courcelette)     


La gare Windsor

  La gare Windsor est une gare patrimoniale de Montréal, située au 1160, avenue des Canadiens-de-Montréal, à l’angle  de la rue Peel, dans le quartier Sainte-Marie de l'arrondissement Ville-Marie.
Ange de la Victoire
  Plusieurs grandes entreprises ont souligné la participation et  la disparition de leurs employés au combat. Le Canadien Pacifique a ainsi commandé à l’artiste Cœur-de-Lion McCarthy une sculpture en bronze représentant l’Ange de la Victoire entraînant un soldat mort vers le ciel.  Un exemplaire de cette œuvre dédiée à la mémoire du personnel mort à la guerre a été installé à la gare Windsor à Montréal (que nous avons visitée), mais aussi dans les gares de Winnipeg et de Vancouver. Sur l'ange il est marqué:
To Commemorate Those In The Service Of
The Canadian Pacific Railway Company
Who At The Call Of King And Country,
Left All That Was Dear To Them, Endured
Hardship, Faced Danger And Finally Passed
Out Of Sight Of Men By The Path Of Duty
And Self Sacrifice, Giving Up Their Own Lives
That Others May Live In Freedom.
Let Those Who Come After See To It That
Their Names Are Not Forgotten.



(Statue de la Gare Windsor, photo du web)



(Photo du monument. Photo du web)

Monument aux morts de la place du Canada

  Simple mais colossal, un monument aux morts de granit se dresse à l’angle de la rue Peel et du boulevard René-Lévesque ouest. Le cénotaphe évoque un hôtel, symbole du sacrifice des soldats morts aux combats pour leur patrie pendant la guerre de 1914-1918.
  Depuis 1918, le 11 novembre, on avait coutume de transporter un monument de plâtre au square Dominion pour y célébrer l’armistice. En 1924, le gouverneur général du Canada, Lord Bing de Vimy, dévoile un monument imposant qui rappelle le courage des braves décédés pendant les batailles. À 11h précises, la foule observait ce monument en silence pendant 2 minutes. Cette cérémonie se déroulait en anglais et français.
   Ce monument est inspiré par "The Cénotaphe" qui est le monument aux morts le plus connu au monde conçu en 1920 par Sir Edward Lutyens. L’épée en forme de croix représente la foi catholique. Ce bâtiment a été récemment modifié pour rendre hommage en même temps aux soldats décédés lors de la seconde guerre mondiale.
  Sur cet autel, il  est gravé " A LA GLOIRE DE DIEU, AU SOUVENIR DES MORTS IMMORTELS À QUI NOUS DEVONS L’HONNEUR ET LA PAIX" , avec les dates des deux guerres mondiales.                                      




(Photo du monument aux morts de la place du Canada)


L'église St.Andrew et St.Paul




(Photo personnelle de l'église St-Andrew et St-Paul)

  L'église St-Andrew et St-Paul est une église située au centre-ville de Montréal. Elle se trouve à l’angle des rues Sherbrooke et Redpath (au 3415 Redpath).  Sa construction en 1932 est le résultat de la longue histoire mouvementée des églises presbytériennes au Canada.
  Dans cette église, il y a un grand vitrail au bout de la nef qui fut offert par la famille Mc Lennan en l’honneur du lieutenant-colonel Bartlett Mc Lennan et des hommes du 42nd Bataillon, Royal Highlanders of Canada. Le vitrail est accompagné de la légende suivante: « They sought the glory of their country and now have the glory of God » (Ils voulaient la gloire de leur pays et ont obtenu la gloire de Dieu.) Sur le vitrail se trouvent à gauche un chevalier médiéval et une image de David vainqueur de Goliath, et à droite, Saint Andrew et un soldat du Black Watch. À côté de la tête de David se trouve une étoile de David en l’honneur des soldats juifs, en particulier l’officier Myron Cohen.
   
Statut de Norman Béthune

  La Place Norman Béthune est une place publique située au centre-ville de Montréal. Elle est située à l'intersection du boulevard de Maisonneuve (Ouest) et de la rue Guy. On y trouve une statue de Norman Béthune. 
  Inaugurée le 23 mars 1976, la Place Norman Béthune se veut un hommage à Norman Béthune (1890-1939), médecin ontarien ayant pratiqué plusieurs années à Montréal, qui a œuvré de nombreuses années en Chine. En 1976, la République populaire de Chine avait gracieusement offert la statue de Norman Béthune que l'on trouve sur cette place.
  Pendant la Première Guerre mondiale, Norman Béthune travaille comme brancardier jusqu'à ce qu'il soit blessé en Belgique. Il continue par la suite ses études en médecine à l'Université de Toronto, puis s'enrôle de nouveau dans l'armée britannique comme chirurgien. Il devient médecin militaire pour les aviateurs canadiens en France pendant les six derniers mois de la Première Guerre mondiale. Norman Béthune meurt le 12 novembre 1939 d’une infection après une coupure qu'il se fait en opérant un patient blessé à la guerre...


                                                         (statue de Norman Béthune de Montréal, photo personnelle)

Parc Lafontaine (rue Sherbrooke)

  Il s'agit d'un monument aux morts pour les combattants Français de Montréal et les volontaires canadiens de l'armée française qui sont morts pour la France au cours des deux guerres mondiales. Le monument est construit en pierres grises et est décoré d'une frise de feuilles de laurier et d'érable qui portent l'inscription suivante :
<<Aux morts Français et aux volontaires de l'armée française 1914-1918 et 1939-1945
 Extrême Orient - Afrique du Nord>>
  Sur les côtés, on retrouve les noms de 108 combattants morts pour la France dont 6 étaient des volontaires canadiens qui s'étaient engagés dans l'armée française.      
                                                                                                                                                   

           
Pierres tombales et Monuments du Mont-Royal

  Le cimetière Mont-Royal est un grand terrain d’enterrement situé au nord d’Outremont. Ce cimetière est en commun avec le cimetière Notre-Dame-des-Neiges qui est beaucoup plus grand. Le cimetière Mont-Royal est ouvert et accessible depuis 1852 et est reconnu comme étant un lieu historique du Canada.
  Les participants canadiens de la Première Guerre ont été enterrés dans le cimetière Mont-Royal. On y trouve des pierres tombales qui nous informant sur leur nom ainsi que leur grade dans l’armée.
  Par exemple, les soldats Albert Newman (1876-1917) et Thompson (1882-1917), y sont enterrés.





   D’autres monuments sont dans le cimetière en honneur à plusieurs autres combattants. 


                                                               (Photo personnelle)

  En plus de soldats et des vétérans de guerre, dans ce cimetière, on trouve aussi des civils et des victimes de la guerre 1914-18. Ils font partie des individus inoubliables qui sont mort durant la guerre.

  Le bâtiment ‘’Sun Life’’
    
(Photo personnelle du bâtiment Sun Life)

   Lors de la première guerre mondiale, un bon nombre des employés de la Sun Life participent à l’effort de guerre, et le réseau de production de la compagnie contribue à la vente des obligations de guerre. 
   À Montréal, on entreprend la construction de l’immeuble que l’on connaît aujourd'hui dans le monde entier sous le nom ‘’Sun Life’. C’est alors l’un des bâtiments les plus imposants de l’empire britannique. Sa dernière phase de construction prendra fin en 1933. 
   À l’entrée de ce bâtiment Sun life, il y a une inscription en magnifiques lettres dorées sur une corniche du premier étage qui dit :" 1914-1918 We will remember them 1939-1945".



(Photo personnelle de la plaque dans la Sun Life)


La Tour de l’horloge dans le Vieux-Montréal


  La tour de l’horloge de Montréal est une tour située au Vieux-Port de Montréal. Elle porte aussi le nom de ‘’Sailor’s Memorial Tower’’ et a été classée édifice fédéral du patrimoine en 1996.
  Elle a été construite au début des années 20 en lien avec des installations portuaires, dans le temps. Dès le départ, le but de cette construction était de commémorer la mort des marins de la marine marchande de la Première Guerre mondiale, dont la majorité était canadiens. La tour possède une horloge et une lampe en hauteur pour guider les navires qui passent. Une tour d’horloge a également été construite à Londres, plus précisément à  Croydon.


                                                                                 -Vue du haut de la tour de l’horloge

Plaques Commémoratives dans des hôpitaux

  Durant la Première Guerre Mondiale, des infirmières canadiennes sont allées au front pour soigner les soldats blessés. Une grande partie d’entre elles ont été formés dans l’hôpital Royal-Victoria et à l’Hôpital Général de Montréal. Ces deux hôpitaux possèdent des cadres commémoratifs en raison de l’effort de guerre des infirmières canadiennes. Sur ces plaques les noms des infirmières y sont inscrites. Le 27 Juin 1918, lors du torpillage du navire-hôpital canadien Llandovery Castle, des infirmières sont mortes. Une plaque commémorative a été faite en l’honneur du Dr John Mc Crae, le docteur qui a formé ces infirmières. Cet évènement était considéré comme une grande tragédie. Plus tard, le Dr John Mc Crae a écrit un poème pour les morts du front.




Stade Percival-Molson
  Le Stade Percival-Molson a été construit à la suite de la Première Guerre mondiale. Percival Molson était un athlète de l’Université McGill. Il a été couronné meilleur athlète de l’année trois ans de suite. Il s’est enrôlé dans l’armée dès que la guerre fut déclarée. Le 5 Juillet 1917, un obus allemand causa son décès. Il légua 75 000$ à l’Université de McGill pour que celle-ci construise un stade. Aujourd’hui ce stade est considéré comme un lieu commémorant les héros canadiens de la Première Guerre mondiale. «C’est un stade dédié aux morts de la guerre», a expliqué le directeur des politiques d’Héritage Montréal, Dinu Bumbaru.


                                                              Stade Percival-Molson à l’Université Mc Gill à Montréal

Plaque du Pavillion Roger-Gaudry

Une plaque commémorant les soldats morts lors de la Première Guerre mondiale et provenant de l’Université de Montréal se trouve dans le Pavillion Roger-Gaudry de l’U de M. Elle a été inaugurée le 14 septembre en 1954. L’inscription sur la plaque est:
H o n n e u r
Aux fils valeureux de l'Université de Montréal
morts glorieusement lors de la Deuxième guerre modiale
1939 - 1945
Capitaine René ASSELIN, lieutenant Clarence P. BAYLIS, lieutenant Hervé BEAUPRÉ, lieutenant Cyrille BENOIT, major Georges BERGERON, major Gustave BIÉLER, DSO, MBE, capitaine J. René DÉCARY, sergeant de section André DESCHAMPS, lieutenant Roger DOIRON, lieutenant Louis DESROSIERS, MC, major Alexandre DUGAS E. D., lieutenant Henri DUPUIS, lieutenant Roger DUSSAULT, officier pilote Mercier FUGÈRE, officer d'aviation Jean LALONDE, lieutenant Raymond LAPIERRE, capitaine Rolland LARUE, officierpilote Jacques LEMIEUX, lieutenant Jean J. LÉVESQUE, major Fernand MAJOR, sergeant de section Jacques MERCIER, lieutenant commandant Paul MAJOR, lieutenant Jerry R. PÉRUSSE, lieutenant Guy E. RENAUD, lieutenant Guy Hébert TASSÉ, lieutenant Pierre A. TRUDEL
Le 14 septembre 1954
Don des initiatives militaires de l'Université de Montréal


                                                                                 Photo web de la plaque


Obélisque du parc Marguerite-Bourgeoys

Ce memorial se trouve à Verdun, Momtréal. Cet obélisque commémore les braves de la Division Sainte-Anne, 1939-1945. Il a été érigé par la division. Il honore les habitants du secteur de Pointe-Saint-Charles qui ont combattu dans l’armée, la marine et l’aviation. Il a été inauguré le 9 novembre 1947 par le conseiller et député provincial Frank Hanley.
L’inscription
DIVISION STE-ANNE. MONUMENT AUX MORTS DES GUERRES 1914-1918 - 1939-1945.
ST. ANNE'S DIVISION WAR MEMORIAL 1914-1918 - 1939-1945.


                                                                                        Photo web du monument

Monuments Aux Braves de Lachine

  Cet ensemble de monument est situé proche du Lac Saint-Louis. Ce monument est une sculpture en bronze d’un soldat canadien portant un uniforme britannique de la Première Guerre. Cette sculpture est dédiée aux soldats de Lachine qui sont mort durant la Première Guerre. Sur les stèles des deux côtés de la sculpture, les noms des soldats sont gravés pour démontrer leur participation au nom de leur pays.

(Photo des stèles et de la sculpture)

  Dans les années qui ont suivi, d’autres noms ont été écrits et le monument est donc devenu un lieu de mémoire pour les soldats, en général, qui ont combattu durant toutes les guerres postérieures à La Première Guerre Mondiale.
   On a donc ajouté comme texte, après la guerre de Corée: ‘’Those Who Made The Supreme Sacrifice Of Their Lives’’


Plaques Commémoratives de la Banque Royale




 Ce monument commémoratif se situe à l’entrée de la Banque Royale. Les noms des employés qui ont donné leur vie sont gravés en or.

Sources

2nde1
Alain M. Augustin                                                                                                                                            
Alberto Slinger
Jean Dulac




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